NOS FORCES DE SÉCURITÉ DOIVENT-ELLES UTILISER L'ANGLAIS POUR SE FAIRE COMPRENDRE
Veuillez trouver la copie du message envoyé au ministère de l'Intérieur, concernant l'inauguration de la division "cold case" par la gendarmerie nationale.
La gendarmerie nationale française va-t-elle tourner des séries policières américaines ?...
Nos forces de sécurité, certainement pour renforcer la confiance avec les français, doivent-elles utiliser l'anglais pour se faire comprendre ?...
Nos braves pandores devront-ils apprendre l'anglais pour leurs enquêtes ?...
A moins que, utilisant la méthode du français Coué, étant donné que dans la série du même nom le coupable est toujours démasqué, cette division ait pris un nom porte-chance ?...
Les familles des victimes assassinées, kidnappées, violées, seront certainement rassurées d'être ainsi traitées à l'américaine, gage indéniable de succès.
A quand la division "Louis de Funès" ?
Je rappellerai seulement les termes de la note du 19 juillet 1962 du général De Gaulle au ministre des armées :
« J'ai constaté, notamment dans le domaine militaire, un emploi excessif de la terminologie anglo-saxonne. Je vous serais obligé de donner des instructions pour que les termes étrangers soient proscrits chaque fois qu'un vocable français peut être employé. »
Et, ajouté de la main même du général :
c'est à dire dans tous les cas.